mardi 31 octobre 2017

Paralysie cérébral, qui? quoi? comment?

Qu'est-ce que la paralysie cérébral?


Avant de développer leurs premières habiletés motrices, les nouveau-nés dont le comportement est régi en grande partie par des réflexes involontaires vont d’abord passer par le stade embryonnaire puis par celui de fœtus. Les cas d’infection ou de maladie durant les stades de grossesse peuvent avoir sur le cerveau des conséquences irréversibles. En effet, les cellules du cerveau en développement du fœtus ou du nourrisson peuvent se retrouver détruites. Ce sont là les causes de la paralysie cérébrale, une déficience motrice. Ce handicap, en termes de la façon dont il affectera la vie d’un individu, dépend de plusieurs facteurs dont les zones touchées du cerveau, la gravité des lésions ainsi que le moment où sont survenues celles-ci. Elles sont dues à la diminution ou à l’arrêt de l’apport de sang ou d’oxygène au cerveau, causé par un accouchement prématuré au difficile. La paralysie cérébrale est souvent accompagnée par des limitations, dont des perturbations au niveau des sensations, de la perception, au niveau musculosquelettique et d’autres facteurs.

caractéristiques :observés chez les enfants atteints de paralysie cérébrale:




http://enorev.fr/enorev/paralysie-cerebrale/

Ainsi, on retrouve chez les gens atteints de ce handicap des conséquences au niveau neurologique et neuromusculaire tels que des déficits des fonctions supérieurs, de la vision, du langage et de l’attention. On compte environ 17 millions de personne dans le monde atteint de ce handicap. En 2001 le nombre aux États-Unis tournait autour de 764 000 personnes. La France aujourd’hui en compte environ 125 000. On estimait en 2011 que 650 000 familles s’occupaient d’une personne atteinte de paralysie cérébrale. En ce qui concerne les restrictions, celles-ci peuvent survenir du point de vue de l’autonomie de l’individu, de la communication et des facultés cognitives de celui-ci. Toutes ces limitations peuvent affecter l’individu en ce qui a trait à sa participation à différentes activités. Cependant, ces restrictions n’affectent pas toutes les personnes atteintes de la même façon. En effet, un individu pourrait avoir des troubles au niveau du langage sans qu’il n’ait de déficience intellectuelle. Ainsi, sa compréhension ne serait pas affectée. La paralysie cérébrale s’avère être un handicap et non une maladie.

Références


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