lundi 11 décembre 2017

À l’eau, la paralysie cérébrale!

À l'eau, la paralysie cérébrale!

En tant que kinésiologue, notre but est d’encourager l’activité physique chez tous les types de populations autant que cela est possible. Le gym liquide (réadaptation) constitue une option valide pour les gens atteints de paralysie cérébrale. Ce type de centre possède du matériel d’entrainement musculaire (comme des tapis roulants aquatiques, des trampolines, des vélos stationnaires, etc.) et sont dirigés par des kinésiologues. Le suivi est personnalisé et accessible à tous. En fait, le gym liquide se différencie des autres centre entraînements, car il est exclusivement aquatique. La littérature soutient les bienfaits de ce genre de pratique chez les enfants atteints de paralysie cérébrale. L’un des points positifs de l’entrainement aquatique, c’est qu’il permet de réduire l’impact de la gravité sur les articulations, ce qui n’est pas négligeable pour des enfants atteints de paralysie cérébrale. Aussi, il permet d’améliorer les capacités physiques telles que la force et l’aérobie. En tant que kinésiologue, il est important de faire la différence entre l’activité physique et l’entrainement. Le gym liquide permet bien cette différence dans la mesure où il offre des activités qui nécessitent le mouvement du corps à des fins de dépenses énergétiques, ce qui constitue une activité physique. De plus, il offre aussi des entraînements qui ont comme but d’améliorer ou de maintenir les capacités physiques. Malgré les bienfaits théoriques de l’entrainement et de l’activité physique en milieu aquatique, peu d’étude sur les effets de ce type de pratique a été effectuée spécifiquement sur les enfants atteints de paralysie cérébrale. En effet, plus d’évidences seraient nécessaires afin d’en venir à cette conclusion. Malgré le manque d’informations en ce qui a trait à la littérature, en tant que kinésiologue, nous encourageons ce type de population à s’engager dans cette pratique, ne serait-ce que pour demeurer actif. De plus, un centre d’entrainement tel que le gym liquide donne plus d’occasions de créer un effet de groupe, permettant ainsi de réduire la solitude dont fait souvent face ce type de population.


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Bibliographie
KELLY, Michelle.Aquatic exercise for children with cerebral palsy, 838 Developmental Medicine & Child Neurology 2005, 47: 838–842

Oxygénothérapie hyperbare, efficace ou non?

Oxygénothérapie hyperbare, efficace ou non?

Avec les avancées technologiques, nous sommes constamment à la recherche de méthodes pour améliorer notre condition de vie en tant qu’être humain. Il n’en est pas différent pour les gens atteints de paralysie cérébrale. L’un des traitements discutés sera l’oxygénothérapie hyperbare. Il est important de mentionner que ce traitement ne permet pas de guérir la paralysie cérébrale. En effet, il n’y existe pas de tel traitement. Cependant, il peut permettre des améliorations.  Qu'est-ce que sa fait concrètement? Grosso modo, il y a une élévation des niveaux d’oxygène afin d'en envoyé davantage au cerveau, ce qui permet d'augmenter le niveau d’oxygénation des cellules. Ceci a comme objectif, d'améliorer les fonctions motrices et diminuer les spasmes musculaires. C’est une technologie qui est disponible depuis 1982, au Québec. En termes de fonctionnement, les patients sont placés dans une chambre monoplace et peuvent porté un masque ou un casque pour respirer de l’oxygène pressurisé à 100%. Également, cela  pourrait jouer un rôle dans la revascularisation et la cicatrisation des tissus, greffes et organes et aurait également des effets positifs dans la conservation et la régénération osseuse.

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Pour ce qui est des risques, la littérature soutient qu’il y’en a peu en termes des complications majeures tant que les règles de sécurité et les protocoles sont respectés. Il faut savoir que l’utilisation de chambres hyperbares nécessite une équipe multidisciplinaire ainsi qu’un encadrement médical permanent pour que le traitement puisse être réellement efficace. Aussi, les effets secondaires importants sont rares. L’oxygénothérapie hyperbare est recommandée pour plusieurs pathologies dont les gangrènes gazeuses et les lésions tissulaires post radiothérapie. En ce qui à trait au traitement de la paralysie cérébrale, les critères d’efficacité sont plutôt inconstants. En effet, les recherches sur le sujet ont fait preuve de controverse, l’oxygénothérapie hyperbare doit être considéré comme un traitement alternatif ou expérimental. On peut donc affirmer que plus de recherche sur ce traitement mériterait d’être entretenue afin de pouvoir réellement affirmer son efficacité. En tant que kinésiologue,  demeuré à jour sur les différentes avancées technologies peut s'avérer utile lorsque vient le temps d'aider différents types de clientèles, mais également dans notre travail de promotion de la santé.




Bibliographie


  • C. SÉNÉCHAL et al, L'oxygénothérapie hyperbare dans le traitement de la paralysie cérébrale : Arnaque ou traitement 1 approprié?, revue de psychoéducation, volume 37, numéro 2, 2008 p.289-307



  • Conseil d’évaluation des technologies de la santé du Québec. L’oxygénothérapie hyperbare au Québec (CETS 2000-3 RF). Montréal: CETS, 2000, x- 126 p.




Choisir ses batailles

Dans le domaine de la médecine

Dans l’article précédent (Toute une équipe.), nous avons vu différents professionnels qui offrent des thérapies permettant d’améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de paralysie cérébrales (PC). Dans celui-ci nous allons vous présenter des traitements alternatifs qui sont possibles dépendant des symptômes et des contraintes du patient. Voici donc la deuxième partie du segment traitement.

Médication : 

Il existe plusieurs types de médicaments pouvant venir en aide, certains médicaments sont cruciaux à la vie tandis que d’autres sons prescrit dans l’espoir qu'ils viendront en aide. D’une part, on retrouve les relaxants musculaires comme le valium et le Botox, ces derniers sont prescrit chez les patients spastiques. Les relaxants permettent de réduire les spasmes et la rigidité musculaire qui peut être contraignante. Le Botox  est utilisé avec des quantités limitées, ont y opte souvent pour des enfants ou lorsque l’atteinte du muscle est peu profond et localisé. Ce traitement doit être répété et combiné à une physiothérapie afin de favoriser l’étirement musculaire et ceux des tendons affectés. Il y a aussi la prescription de médicaments pour les patients épileptiques (symptôme de la PC), bien évidemment l’objectif est de réduire les épisodes d’épilepsie. Un autre type de médicaments prescrits sont les  anticholinergiques, ces derniers sont prescrits au patient dystonique afin de réduire les mouvements involontaires et la salivation excessive. Il y a bien d’autres médicaments qui peuvent venir en aide, l’idée ici est de savoir que différents médicaments aident pour différents symptômes et il est primordial qu’un professionnel de la santé sache quel médicament est prescrit à son patient, afin d’ajuster son intervention en conséquence.


Chirurgie : 

Dans certains cas, la chirurgie est l’option jugée la plus idéale. Les chirurgies majeures peuvent corriger certains problèmes posturaux qui sont limitants ou problématiques. Les interventions sont principalement faites au niveau des jambes, des bras et de la colonne, on parle de chirurgie corrective (os et tendons). Ceci se fait à l’aide de tige en métal qui sert de support aux structures. Ses chirurgies permettent un meilleur usage des membres, peuvent réduire la rigidité des membres affectés et même diminuer la douleur due à la spasticité. Une autre forme de chirurgie est la radicellectomie sélective postérieure. Certains qui ont le potentiel de marcher peuvent avoir recours à ce genre d’intervention. Le traitement cible les muscles des membres inférieures (effets sur membres supérieures). Le but est d’évaluer l’efficacité des nerfs, par conséquent les nerfs qui causent les mouvements de spasticité sont éliminés (sélection). Suite à cette intervention, les muscles doivent être renforcés (physiothérapeute ou kinésiologue) afin de permettre à l’enfant de se soutenir et éventuellement marcher.



Références:

Tilton, A. H. (2004). Management of spasticity in children with cerebral palsy. Seminars in Pediatric Neurology, 11(1), 58–65. https://doi.org/https://doi.org/10.1016/j.spen.2004.01.008

http://www.hopitalpourenfants.com/nouvelles-et-evenements/dernieres-nouvelles/multiplier-les-competences-pour-le-traitement-de-la

Toute une équipe!

Traitement et paralysie cérébrale

« Seul on va vite, ensemble on va loin », ce proverbe s’applique à plusieurs scénarios et au niveau du traitement de la paralysie cérébrale, il ne fait pas exception. Afin d’offrir une meilleure qualité de vie aux personnes atteintes de paralysie cérébrale, une multitude de professionnels offre des traitements spécifiques. Voici une petite liste des thérapies suivies, ainsi qu’un court résumé des facettes visées.

Physiothérapie : 

En physiothérapie, l’objectif est d’apprendre à la personne à faire des mouvements sans les contraintes de spasticité ou de dyskinésie . On est dans une optique de réhabilitation. Dépendamment des atteintes et des incapacités, un physiothérapeute va favoriser le regain de motricité globale, il va s’assurer que la personne passe d’un état fonctionnel à un niveau plus élevé. Il peut travailler sur différents mouvements, comme la marche, la course, le saut, la posture, etc., et tout ceci en suivant les limites de son patient.

Ergothérapie : 

L’ergothérapie permet au patient de développer des stratégies afin d’obtenir le plus d’autonomie possible. Un ergothérapeute va être en mesure de guider le patient et les familles dans le processus. En effet, il va être un pont avec les différents organismes, dans le but que ses derniers puissent mieux comprendre la maladie. Les traitements vont viser à affiner la motricité pour être en mesure de faire des tâches du quotidien, travailler sur l’estime de soi et le sentiment d’appartenance, adapter les différents besoins (orthèses, activité sociale, etc.), etc. Le rôle de l’ergothérapeute est bien plus qu’un traitement physique, il s’inscrit dans une optique biopsychosociale.


Orthophonie : 

Les traitements en orthophonie vont viser à traiter la plupart des problèmes oraux (déglutition, mastication, l’élocution). Encore une fois, les traitements varient selon l’âge, l’occupation et la sévérité des symptômes. Il toujours important qu’une évaluation soit faite afin que les bons traitements soient utilisés. Dans ce cas, un orthophoniste évalue les difficultés de communication tant orale qu’à l’écrit et également sur l’aspect alimentaire. Les plans d’intervention sont établis par ce dernier, il peut suggérer des traitements individuels, de groupe ou en co-intervention. Les traitements sont divers à ce niveau.

Kinésiologie : 

La kinésiologie est souvent vue comme un traitement secondaire et n’est suggérée qu’au besoin des autres spécialistes. Cependant, un kinésiologue est en mesure de faire un travail d’optimisation pour ses personnes. Un peu dans la même optique que le physiothérapeute, ce dernier peut offrir un rôle dans la réhabilitation et la réadaptation. Une personne atteinte de paralysie cérébrale est en mesure de faire de l’activité physique et qui de mieux qu’un Kinésiologue pour l'encadrer. Avec une connaissance en biomécanique et en physiologie de l’exercice, il est possible de prescrire des exercices afin d’améliorer la motricité globale et de développer des stratégies afin de faciliter son quotidien. Des activités comme l'Aqua-gym, les sports comme le Boccia ou de la musculation sont tous des activés qui peuvent être adaptés aux différents besoins d'un individu.

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Référence :



Dodd, K. J., Taylor, N. F., & Damiano, D. L. (2002). A systematic review of the effectiveness of strength-training programs for people with cerebral palsy. Archives of Physical Medicine and Rehabilitation, 83(8), 1157–1164. https://doi.org/https://doi.org/10.1053/apmr.2002.34286



mardi 5 décembre 2017

Des services près de chez vous




On vous propose cette fois-ci un centre qui se spécialise sur la problématique de paralysie cérébrale auprès des jeunes mineurs. Ce centre offre un support important aux parents et aux spécialistes qui entourent l’enfant ou l’adolescent pour faciliter la compréhension des déficiences trouvé afin de découvrir des solutions possibles.
Le deuxième endroit proposé se trouve à être le centre de réadaptation marie-enfant loger au CHU Sainte-Justine. Ce centre offre des services d’aide pour une panoplie de maladie et déficience notamment celle qui nous intéresse plus particulièrement la paralysie cérébrale. Or, il est important de mentionner que les services sont offerts aux personnes mineures (moins de 18 ans) seulement ayant eu un diagnostic préalable du trouble. Un encadrement fait par des spécialistes médicaux ainsi que des professionnels en réadaptation (pédiatre, neurologue, audiologiste, psychologue, travailleur social, etc.) est fait pour assurer un accompagnement efficace fait par la famille et les différentes personnes qui côtoie l’enfant (service de garde, professeur, etc.). L’objectif de l’encadrement et des services est de faciliter l’identification des habitudes de vie problématique et trouver des solutions à celle-ci. De plus, une participation sociale et une intégration dans plusieurs milieux pour préparer l’enfant à faire la transition dans le monde adulte sont visées. De plus, le centre veut minimiser le plus possible les obstacles physiques que peut vivre l’enfant donc l’utilisation d’équipement spécialisé comme des orthèse et prothèse sont souvent utilisées. Pour l’atteinte des objectifs mentionnés plus haut, le centre offre une grande variété de services qui peuvent être offerts sur divers angle à domicile, en groupe, individu, etc. Les sévices peuvent aller du soutien à l’intégration au milieu scolaire aux cliniques de spasticité. Le centre Marie-Enfant à plusieurs partenaires en autre l’hôpital de Montréal pour enfant, les CSSS et les CLSC , diverses écoles spécialisées et bien d’autres. Pour de l’information supplémentaire ou demande de service, je vous invite à appeler ou numéro suivant : 514 374-1710, poste 8400 ou 5422
Vous pouvez également en apprendre plus sur le sujet en feuilletant nos sources utilisées



Une association pour vous



Bien souvent après avoir  reçu le diagnostic de paralysie cérébrale les proches ou même la personne elle-même peuvent bien souvent se retrouver sans repère avec un sentiment d’impuissance face à leur situation. C’est donc pour ça qu’on vous propose un organisme qui peut aider à mieux comprendre la maladie et trouver des solutions pour rendre le quotidien des personnes atteintes et des proches, plus facile.
Le premier se trouve à être un organisme à but non lucratif, reconnu par le gouvernement provincial et fédéral nommé l’association de paralysie cérébrale du Québec. Cette association a deux objectifs. Le premier est de sensibiliser la population sur la maladie et toute autre déficience motrice au Québec. De plus, l’organisme vise à informer la population sur les outils disponibles pour rendre les conditions de vies plus agréables et promouvoir l’intégration sociale des personnes souffrantes de cette déficience. L’idée ici est de conscientiser la personne et les proches sur les ressources personnelles et les capacités de l’individu atteint tout en le responsabilisant face à ses besoins. Pour ce faire, l’organisme propose divers services intéressants comme une orientation sur les services offerts par le gouvernement et par la communauté dans laquelle cette personne vit. Quand les ressources du gouvernement ou communauté ne font plus, l’association propose une aide financière de dépannage notamment pour des équipements spécialisés comme des ballons thérapeutiques, des sièges de bains, etc. Un camp d’été est également proposé ce qui permet le répit des proches et permet aux participants de vivre une expérience d’intégration en favorisant la pleine participation à des activités adaptées à leurs besoins. De plus, des groupes d’échange sont également créés pour permettre aux personnes atteintes de parler et d’écouter sur différents sujets qui les tracassent. Pour finir, l’association de la paralysie du Québec offre ses services un peu partout au Québec et n’hésiter pas à les rejoindre pour plus d’information sur le sujet à leur adresse courriel : info@paralysiecerebrale.com ou au numéro sans frais 1-800-311-3770.
Vous pouvez également en apprendre plus sur le sujet en feuilletant nos sources utilisées

mardi 31 octobre 2017

Paralysie cérébral, qui? quoi? comment?

Qu'est-ce que la paralysie cérébral?


Avant de développer leurs premières habiletés motrices, les nouveau-nés dont le comportement est régi en grande partie par des réflexes involontaires vont d’abord passer par le stade embryonnaire puis par celui de fœtus. Les cas d’infection ou de maladie durant les stades de grossesse peuvent avoir sur le cerveau des conséquences irréversibles. En effet, les cellules du cerveau en développement du fœtus ou du nourrisson peuvent se retrouver détruites. Ce sont là les causes de la paralysie cérébrale, une déficience motrice. Ce handicap, en termes de la façon dont il affectera la vie d’un individu, dépend de plusieurs facteurs dont les zones touchées du cerveau, la gravité des lésions ainsi que le moment où sont survenues celles-ci. Elles sont dues à la diminution ou à l’arrêt de l’apport de sang ou d’oxygène au cerveau, causé par un accouchement prématuré au difficile. La paralysie cérébrale est souvent accompagnée par des limitations, dont des perturbations au niveau des sensations, de la perception, au niveau musculosquelettique et d’autres facteurs.

caractéristiques :observés chez les enfants atteints de paralysie cérébrale:




http://enorev.fr/enorev/paralysie-cerebrale/

Ainsi, on retrouve chez les gens atteints de ce handicap des conséquences au niveau neurologique et neuromusculaire tels que des déficits des fonctions supérieurs, de la vision, du langage et de l’attention. On compte environ 17 millions de personne dans le monde atteint de ce handicap. En 2001 le nombre aux États-Unis tournait autour de 764 000 personnes. La France aujourd’hui en compte environ 125 000. On estimait en 2011 que 650 000 familles s’occupaient d’une personne atteinte de paralysie cérébrale. En ce qui concerne les restrictions, celles-ci peuvent survenir du point de vue de l’autonomie de l’individu, de la communication et des facultés cognitives de celui-ci. Toutes ces limitations peuvent affecter l’individu en ce qui a trait à sa participation à différentes activités. Cependant, ces restrictions n’affectent pas toutes les personnes atteintes de la même façon. En effet, un individu pourrait avoir des troubles au niveau du langage sans qu’il n’ait de déficience intellectuelle. Ainsi, sa compréhension ne serait pas affectée. La paralysie cérébrale s’avère être un handicap et non une maladie.

Références


Paralysie cérébrale chez les enfants

Objets : Paralysie cérébrale  infantile

Introduction

Dans ce blogue, nous allons approfondir sur la paralysie cérébrale, mais cependant ,cette fois-ci sur une population bien particulière qui est les enfants. Cette condition cause des incapacités graves dans le quotidien de ces jeunes enfants. Une prévalance de 0.6/1000 naissances d'enfant atteint d'hémiplégie cérébrale infantille. La paralysie cérébrale limite la participation complète des enfants sur différent plan comportemental, moteur, intellectuel, langage et bien d’autres.
Maladie à surveiller.  
Ils existent diverses causes et facteur de risque qui vient exacerber les chances d’être atteint de la paralysie cérébrale, en voici quelques-unes:
  • Le mécanisme provoquant une lésions au cervaux soit d'origine clastique, hémoragique, ischémique,inflammatoire, infectieur, etc
  • Infractus cérébrale périnatal
  • lésion du à la prématurité
  • malformation cérébrale


Diagnostic et traitement

Pour le moment présent, il n’y a pas de diagnostic possible pour la paralysie cérébrale infantile de très bas âges. Or, lorsque l’enfant manque, une étape importante de son développement peut être un signe avant-coureur.
Il n’hésite pas de remède miracle pour cette maladie. Cependant, plusieurs traitements et méthodes ont été créés pour  essayer de rendre le quotidien des enfants plus facile.
La première étape est de viser l’amélioration de la communication  afin d’avoir un impact positif dans la sphère sociale de la vie de l’enfant. Le professionnel comme le kinésiologue à une place importante dans la réadaptation. Le kinésiologue avec des entraînements ludiques peut grandement contribuer au développement moteur des enfants atteint de paralysie cérébrale. Certaines études démontrent un impact positif dans le périmètre et la vitesse de la marche ainsi que la motricité globale en incluant un entrainement en endurance pour améliorer la capacité aérobie. De plus, un entrainement qui vise l’augmentation du tonus musculaire peut avoir beaucoup d’impact sur la motricité globale, image personnelle et perception de soi. Il est important de noté que, les études ne prenez pas en compte la fatigue ressentie lors de l’entrainement. D’autres méthodes comme celle de Bobath qui est utilisée afin d’augmenter le répertoire d’expérience  sensorimotrice et la qualité du mouvement. La méthode Medek, elle vise la création de diverses réponses de contrôle postural afin de contourner les régions lésées. Pour finir, l’amélioration de la motricité fine peu ce faire avec la technologie comme des applications éducatifs.

Si vous désirez en apprendre plus n’hésite pas à consulter nos sources :

http://media.eduscol.education.fr/file/ASH/35/6/guide_eleves_deficients_moteurs_116356.pdf

https://ac-els-cdn-com.proxy.bibliotheques.uqam.ca:2443/S0035378709005578/1-s2.0-S0035378709005578-main.pdf_tid=0d2adb92be6c11e7b89f00000aab0f26&acdnat=1509475874_4ffd40757cccf3c13e5b760e0849e1db

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À l’eau, la paralysie cérébrale!

À l'eau, la paralysie cérébrale! En tant que kinésiologue, notre but est d’encourager l’activité physique chez tous les types de pop...